Les Scouts Marins de la 10e BW
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 totems 2006

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MessageSujet: totems 2006   totems  2006 EmptyJeu 28 Sep - 13:02

Shetland

totems  2006 Remco20hoved20forsidecu1.th
Le Shetland est le plus connu et le plus populaire des poneys ; c'est aussi le plus petit : sa taille est comprise entre 90 cm et 105 cm (le plus petit spécimen mesurait 65 cm). Quant à son poids, il se situe entre 150 et 180 kg.
C'est un petit poney de type médioligne dont la tête, de profil rectiligne ou camus, est petite et courte mais avec les ganaches prononcées. Le front et les naseaux sont larges, les oreilles sont petites, l'oeil est grand. Son encolure, courte et musclée, est large à la base (les étalons ont un bourrelet longitudinal prononcé). Sa crinière ainsi que sa queue attachée haut est longue et fournie.
Le dos et les reins sont courts mais très larges, ce qui rend difficile la mise en place d'une selle (ils sont généralement montés à cru par les enfants). La croupe, courte et arrondie, doit avoir la même hauteur que le garrot. Le thorax est large et profond, tandis que l'épaule est longue et inclinée. Le ventre est arrondi.
Les membres sont plutôt courts mais bien dessinés et fors avec des articulations larges. Enfin, le sabot est petit, rond et résistant avec une corne dure. Toutes les couleurs de robe sont admises, mais surtout le pie, l'alezan, le bai et le noir. Quant à sa peau, elle est fine, en été, avec des poils lisses et durs ; elle devient double, en hiver, les poils ressemblant à une fourrure, tant ils sont longs et fournis.
Il a un caractère docile mais vif.

Sur Tabou : C'est un adorable petit cheval. Tout court et tout rond, il dépasse rarement 1m. Son poil est -surtout en hiver- très épais, sa crinière et sa queue sont fournies. Sa tete séduit d'abord avec ses grands yeux intelligents et affectueux.

Simba

Lionceau en Congolais
totems  2006 Nala1dv3.th
La lionne s'isole et peut avoir de 2 à 6 lionceaux. Il n'y a pas de chef chez les petits.
Vers sept semaines, les petits commencent à gambader. Ils jouent beaucoup.
A quatorze semaines, les lionceaux suivent leur mère à la chasse.
Durant les trois premiers mois, ils ont un pelage tacheté .
Vers neuf mois, les lionceaux percent leurs dents définitives .
Vers deux ans, la crinière des mâles commence à pousser.

Koala
totems  2006 Koalabb5.th
Bien que très connu du grand public, le koala n'habite que quelques petites forêts d'eucalyptus australiennes et aucun jardin zoologique au monde n'en possède, si ce n'est celui de San Diego (Californie) où une colonie prospère se maintient depuis de nombreuses années.
Le koala mène une existence arboricole et descend rarement au sol, s'il y vient c'est soit pour y lécher la terre et se procurer ainsi certains éléments nutritifs minéraux, soit pour se déplacer d'un arbre à un autre. C'est un grimpeur excellent, qui parvient à escalader les troncs les plus lisses grâce aux griffes très fines de ses doigts. Animal plutôt nocturnes, il passe la journée recroquevillé sur lui-même, confortablement installé dans une fourche de branches.
Le koala vit en groupes réunissant parfois une vingtaine d'individus, qui communiquent entre eux par des cris très stridents qui peuvent s'entendre à plusieurs centaines de mètres. La reproduction du koala est lente.
L'alimentation exclusive du koala consiste en feuilles de certaines espèces d'eucalyptus. De plus, notre koala ne se contente pas de n'importe quelles feuilles des douze espèces qui lui conviennent : seules les feuilles âgées, dures et coriaces entrent dans son menu, délaissant en effet les jeunes feuilles tendres, qui contiennent une dose mortelle d'acide prussique. Ce régime alimentaire exceptionnel imprègne tout l'animal d'une forte odeur d'eucalyptus, tant et si bien que les koalas sentent tout à fait comme des bonbons contre la toux.
SIGNES PARTICULIERS Bad le koala ne boit jamais, seules les feuilles d'eucalyptus lui apporte sa ration liquide, de là vient son nom qui signifie, dans la langue des arborigènes australiens : "sans eau".
- par contre, il peut manger jusqu'à un kilo de feuilles par jour !
- le koala a un cri pas très agréable qui ressemble à une scie sur du bois !
- il nage très bien et longtemps s'il le faut, ce qui lui permet de s'échapper des zones inondées.
Longévité : 20 ans
Poids adulte : 4 à 15 kg
Longueur totale : 60 à 85 cm.


Busard

totems  2006 Busardstmartincv6.th
Comme chez de nombreux rapaces, la femelle est plus grande que le mâle et possède des ailes plus larges qui lui donnent une allure plus lourde. Les femelles et les jeunes se ressemblent et se confondent aisément avec les femelles des busards pâle et cendré. La femelle est brun terne dessus, blanc beigeâtre fortement rayé de brun dessous au cou, à la poitrine et aux flancs. Son croupion blanc est plus large que celui des Busard pâle et cendré, et ce croupion permet donc de la différencier des femelles des autres espèces. Elle arbore aussi un collier facial clair, que les autres femelles ne possèdent pas. Le juvénile diffère de la femelle adulte par le dessous plus jaune roussâtre, moins rayé, surtout au ventre et par une zone aux couvertures sus-alaires plus roussâtre et plus étendue. Grandes couvertures sus-alaires à bout pâle.
Comportement
Le Busard Saint-Martin vole ordinairement en solitaire survolant inlassablement le chaume quelques mètres au-dessus du sol. Sur un terrain giboyeux, chasse parfois en groupe, souvent d'un vol bas, lent et chaloupé, avec les ailes tenues en V. Par contre en migration, son vol est en général étonnamment plus rapide. Il pratique souvent le vol à voile et en vol plané, ses ailes sont souvent à plat ou un peu arquées. La parade nuptiale, au cours de laquelle le mâle peut réaliser de rapides tonneaux, est spectaculaire. Il apporte une proie qu'il laisse tomber, la femelle la récupérant au vol. Il forme des dortoirs comptant jusqu'à 20 individus dans les roselières ou les marais à grandes herbes.
Habitat
Espèce commune, présente dans les tourbières des forêts claires de conifères, les marais et les étangs peu profonds à végétation dense. Se rencontre aussi dans les clairières et les coupes, les landes à bruyères en terrain plat ou vallonné.


Epaulard
totems  2006 Orquefd0.th

L’orque (nom féminin, souvent utilisé au masculin), ou épaulard, est un mammifère marin du sous-ordre des cétacés à dents (Odontocètes). Elle est facilement reconnaissable à sa livrée noire et blanche et à la taille de sa nageoire dorsale qui peut atteindre 1,80 m de hauteur chez les mâles.
L'orque (Orcinus orca) compte parmi les mammifères marins les plus répandus sur la planète. Bien qu'il s'agisse d'un carnivore et malgré son nom anglais (killer whale, « baleine tueuse »), l'orque ne s'attaque aux êtres humains qu'en captivité par stress et ce, très rarement.
Comportement
Redoutable chasseur, son alimentation est essentiellement constituée de poissons et d'autres mammifères marins (lions de mer, otaries, phoques, dauphins, marsouins, baleines). Les proportions de ces proies dans le régime alimentaire ainsi que les techniques de chasse employées varient en fonction des populations. Les orques chassent les mammifères marins tels que les phoques et lions de mer en rôdant très près des plages, et en utilisant la technique d'échouage sur le rivage.
Les orques sont des opportunistes, il arrive donc que lorsqu'ils croisent une baleine et son petit, ils se mettent en chasse. Leur technique consiste à tenter de séparer le mère du petit en passant au-dessus d'eux, et en essayant de se mettre entre eux. La plupart du temps c'est l'orque dominante, la plus grosse, qui s'intercale entre le baleineau et sa mère. À leur tour, les autres orques dirigent le bébé dans les profondeurs pour le noyer. La baleine abandonne parfois son petit s'il est trop épuisé par la défense face à leurs prédateurs. Les orques ne mangent que la langue et la mâchoire inférieure des baleines. Des requins et des poissons se chargent de dévorer le reste du cadavre.
Les orques appartiennent à la même famille que les dauphins et, tout comme ces derniers, leur dressage est relativement facile. Leur taille imposante, leur beauté et leurs bonds spectaculaires en font des attractions très appréciées par les visiteurs des delphinariums.
Morphologie
Les orques ont une apparence bien caractéristique avec un dos noir, un ventre blanc et une tâche blanche derrière et au-dessus de l'œil. Le corps est puissant et surmonté d'un grand aileron dorsal avec une tache gris foncé en forme de selle juste derrière. Les mâles peuvent mesurer jusqu'à 9,5 m de long (le spécimen le plus grand jamais vu mesurait 9,8 m) et peser plus de 9 tonnes ; les femelles sont plus petites, atteignant jusqu'à 8,5 m pour une masse d'environ 5 tonnes. À la naissance, le nouveau-né pèse environ 180 kilogrammes et mesure environ 2,4 m de long. À la différence de la plupart des dauphins, l'aileron caudal d'une orque est large et arrondi. Haut d'environ 1,8 m, l'aileron dorsal du mâle est plus grand que celui de la femelle. Il a une forme de triangle isocèle allongé alors que que l'aileron dorsal de la femelle est plus court et a la forme d'une faux.


Elanion
totems  2006 Elanionblancdabe1gnr2.th

Identification
Petit rapace à grosse tête. Bien qu'il soit de taille inférieure. Le plumage est gris-bleu au dessus à l'exception des épaules noires et de la queue gris pâle et blanc. Le dessous est blanc. Les iris sont rouges, le bec jaune et noir. Les pattes ont une coloration jaune.
Son : Peu loquace. Petits sifflements peu sonores. Petits cris plaintifs gri-éh
Habitat : Il fréquente les paysages ouverts, cultures, prairies , bosquets dispersés. Bien qu'il niche habituellement sur le continent africain et certaines côtes asiatiques, l'élanion blanc se reproduit également, mais en faible densité, dans la moitié sud du portugal. Il apparaît régulièrement dans le sud-ouest de la péninsule ibérique et accidentellement dans notre sud-ouest, en particulier dans le Tarn et les Pyrénées Orientales mais aussi dans d'autres régions telles que la Normandie et l'Alsace. Ces dernières années, des oiseaux tendent à s'installer durablement en Aquitaine : six à dix couples nichent régulièrement dans cette région depuis 1990 et chaque année on assiste à une dizaine de jeunes à l'envol.
Comportements : Souvent posé sur des poteaux téléphoniques ou électriques, à la cime des arbres et hautes branches d'arbres morts, l'élanion blanc chasse à l'affût, très souvent au crépuscule. Dès qu'il a repéré une proie, il la capture soit en volant lentement soit en pratiquant le vol stationnaire comme le crécerelle. Il est sédentaire.
Vol : Vol plané, les ailes relevées en V au-dessus de l'horizontale. Vol sur place ailes horizontales avec des battements rapides (dit vol Saint-Esprit).
Régime : En raison de sa petite taille, l'élanion ne traque que des proies de format modeste : petits rongeurs, passereaux terrestres, petits lézards, gros insectes.


Serval
totems  2006 Servalkl1.th

Sa longueur est d’environ 85 cm, et celle de sa queue de l’ordre de 40 cm. Il a de longues pattes et une tête élancée ; ses oreilles sont à la fois longues et larges en comparaison avec sa tête, et ont la particularité d'être arrondies en leur bout. L'aspect de sa fourrure est variable : bien que la plupart des servals arborent de multiples points ou taches à la manière des léopards, certains n'ont pour marques apparentes que quelques taches au-dessus des yeux et des anneaux autour de la queue. Il existe également des servals entièrement noirs. (voir panthère noire).
Biotope
Ce chat serval, assez commun en Afrique, vit principalement dans les savanes humides. Comme les servals ont besoin de cours d'eau dans leur territoire, on ne les trouve pas dans les demi-déserts ou les steppes arides. Le serval est capable d'escalader et de nager, mais il le fait rarement.
Nourriture
Le serval se nourrit d'autres mammifères tels que les rongeurs, les lièvres, les damans, les petites antilopes, et d'oiseaux.
Prédateurs
Les servals sont parfois la proie des léopards. Mais l'homme est bien plus dangereux pour lui. Les servals ont été beaucoup chassés pour leur fourrure.


Dernière édition par le Lun 2 Oct - 14:02, édité 7 fois
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MessageSujet: Re: totems 2006   totems  2006 EmptyJeu 28 Sep - 13:02

Goundi
totems  2006 Ctenodactylusvalihb2.th
Le goundi du Sahara, Ctenodactylus vali, se trouve dans les massifs rocheux du Sahara septentrional. Son aire de répartition est divisée en deux, l’une située aux confins du Maroc et de l’Algérie, l’autre en Libye. C’est une espèce essentiellement solitaire. Mâle et femelle se retrouvent au début de l’hiver, et le mâle devient erratique dès la première mise bas (février-mars). Les jeunes et leur mère ne partagent pas toujours le même abri nocturne. Les jeunes de première portée désertent le domaine vital maternel avant la deuxième mise bas et dès le mois de juin, tous les animaux sont erratiques. Cette aptitude à l’erratisme lui confère un grand pouvoir de colonisation. Le goundi du Sahara est en compétition avec le goundi de l’Atlas et elles sont parapatriques en Algérie et au Maroc. La limite entre les deux espèces fluctue selon les conditions climatiques. Le goundi de l’Atlas n’est pas capable de résister au milieu désertique et l’expansion du goundi du Sahara est bloqué par la structuration de l’espace par le goundi de l’Atlas.
Sur tabou : Petit rongeur de la forme d'un cobaye. Il vit dans les fentes des rochers au pied du djebel Bou-Hedma. Cet animal se déplace rapidement sur les rochers grâce à des coussins mous et des poils sous ses pattes.
Le goundi aime le soleil.


Wallaby
totems  2006 Wallabyqc8.th

n. m. Terme regroupant plusieurs espèces de petits kangourous, c'est-à-dire des mammifères marsupiaux appartenant à la famille des macropodidés.
Caractéristiques.
Les wallabies sont des animaux de taille moyenne (moins de un mètre de long, queue non comprise), qui ont une tête longue, au museau souvent pointu et aux oreilles effilées. Mangeurs d'herbes, d'écorces ou de feuilles, ils fréquentent divers milieux (surfaces herbeuses, rocailles, forêts, marais, etc.) en Australie et en Nouvelle-Guinée.
Quelques espèces.
Les wallabies sont étroitement apparentés aux grands kangourous d'Australie. Il en existe une cinquantaine d'espèces, dont l'aspect, les mœurs et la taille diffèrent considérablement.
Très bons grimpeurs et capables de bondir haut et loin, les wallabies des roches sont aussi appelés "chamois d'Australie" par les gens du pays. Ces marsupiaux sont non seulement à l'aise parmi les rocs et les escarpements montagneux, mais ils escaladent avec célérité les arbres inclinés, effectuant des bonds énormes pour atteindre une fourche ou une grosse branche. Les deux orteils médians de leurs pieds postérieurs peuvent se recourber plus aisément que chez les autres wallabies et chez les kangourous proprement dits. La plante des pieds est garnie d'un tissu charnu et souple, frangé de poils, avec un épiderme granuleux. Cette conformation plantaire leur assure une adhésion parfaite sur la roche et l'écorce.
Dans certains habitats occupés depuis des générations par ces wallabies, les falaises montrent les voies de passage polies comme du verre. Ces animaux franchissent sans peine des crevasses larges de quatre mètres. Pour échapper à leurs ennemis, les wallabies se précipitent dans des anfractuosités dont ils ont estimé exactement la profondeur, ou ils escaladent des parois verticales apparemment infranchissables. Lors de ces manœuvres, seuls les pieds sont utilisés, la queue musclée ne servant que de balancier.
Poids adulte : 3 à 9 kg
Longueur : du corps : 50 à 80 cm
de la queue : 40 à 70 cm


Gecko
totems  2006 Gekkoninaerhacodactylusciliatusorangeqh7.th

Le nom vernaculaire gecko désigne l'ensemble des lézards de la famille des Gekkonidae. Ce nom provient du Malais « Gekoq », qui est une onomatopée correspondant au cri d'un gecko indonésien.
Les grands types de lézards divergent au niveau du sous-ordre. Ainsi se retrouvent sous le terme de lézard les geckos, les iguanes, les caméléons, les varans… En revanche, c'est dans la famille des lacertidés que l'on trouve les animaux généralement qualifiés de lézard en langage courant.
Milieu
Initialement originaire d'Asie (où l'on trouve le plus primitif des membres de cette famille encore en vie, le Aeluroscalabotes felinus ou gecko chat), les geckos se sont répandus à travers tout le globe en colonisant en grand nombre de biotopes.
On les rencontre maintenant dans à peu près tous les pays et sous tous les climats, à part les pôles.
Les geckos ont colonisé de nombreux biotopes, et se sont adaptés (en tant que famille) à des conditions de vie très variées. L'espérance de vie d'un gecko est en moyenne de treize à quinze ans, mais peut aller jusqu'à vingt ans ou descendre jusqu'à trois ou quatre ans pour certaines petites espèces.
Modes de vie
Les geckos sont majoritairements nocturnes et arboricoles. Cependant, certains sont diurnes, et/ou terrestres, voire semi-aquatiques. Il est à noter que de nombreux geckos cumulent plusieurs modes de vies (terrestre et arboricole, nocturne avec une activité le matin ou le soir, voire ponctuellement en journée).
Particularités anatomiques
Les geckos nocturnes présentent une pupille à fente verticale, similaire aux yeux des chats, et les diurnes présentent une pupille ronde.
Les geckos sont des squamates, c'est à dire que ce sont des reptiles qui muent à intervalle régulier. Par rapport aux autres reptiles, ils présentent quelques spécificités :
la grande majorité des geckos ne possèdent pas de paupière mobile. Les yeux sont protégés par une écaille transparente (comme chez les serpents).
La plupart des geckos arboricoles présentent des lamelles adhésives sous les pattes, qui leur permettent de grimper sur toutes les surfaces, y compris les plus lisses. Ils peuvent ainsi marcher sur un plafond sans problème. Les forces d'adhérence de leurs pattes sont si grandes qu'un seul doigt peut soutenir le poids complet de l'animal.
De nombreuses espèces peuvent émettre des sons, en général des claquements ou des petits cris puissants ;
De façon corollaire, ils possèdent une très bonne ouïe, supérieure à celle de la plupart des autres lézards.


Nyala
totems  2006 Nyala1891pi4.th
Le nyala, dont on connaît deux espèces distinctes, reste l'une des antilopes africaines les plus mystérieuses. Il ressemble assez a l'élan dont il n'a cependant ni la grande taille, ni l'imposante masse. Le nyala est reconnaissable à sa robe zébrée verticalement de fines lignes blanches. Si le pelage de la femelle est d'un beau châtain vif, le mâle est beaucoup plus foncé, brun ardoisé.
Jusqu'à une date relativement récente, on n'a pas soupçonné l'existence du nyala, cela en des régions pourtant colonisées et habitées par l'homme depuis fort longtemps. Le nyala vivait en effet bien caché au cœur de la végétation et rien ne permettait de supposer que cette antilope ne s'aventurait pratiquement jamais à découvert.
C'est pourtant vrai et on sait aujourd'hui que c'est un des bovidés les plus discrets qui soient.
Le nyala mâle possède de grandes et solides cornes élégamment arquées, ainsi qu'une crinière sur l'échine et le dos ; en période de rut il érige sa crinière pour parader devant une femelle. On connaît fort peu de chose sur le comportement sexuel du nyala.
Le nyala de montagne est encore plus mystérieux que le nyala d'Afrique australe. Très étroitement limité dans sa distribution, cet animal n'existe que sur les hauts plateaux d'Éthiopie, dans les landes à bruyères géantes, entre 2900 et 3800 mètres d'altitude. Des spécialistes ont éva1116 l'effectif total de cette espèce à 4000 ou 5000 têtes. On ignore pratiquement tout de ses mœurs, ce qui est bien dommage, car le nyala de montagne compte certainement parmi les plus belles antilopes.
Poids adulte : 1 10 à 130 kg
Hauteur ait garrot : 95 à 1 10 cm
Longueur des cornes : jusqu’à 80 cm.
Caractéristiques: Solitaire, discret, fort, camoufle, attentif, forestier, difficile à observer, as de la course et du saut.


Ouistiti
totems  2006 Ouistititl2.th

Comme la plupart des ouistitis, le ouistiti à toupet blanc, ou ouistiti commun, fait environ 14 à 18 cm de long et pèse dans les 400 grammes. Il se distingue par les touffes blanches de chaque côté de la tête et une têche blanche au milieu du front. Sa robe est grise et la queue blanche et grise. Par rapport à d'autres petits singes, les ouistitis possèdent un certain nombre de particularités primitives: ils ont des griffes à la place des ongles, et des poils tactiles sur leurs poignets. Ils n'ont pas de dents de sagesse, et l'anatomie de leur cerveau semble relativement primitive. Leur température corporelle varie de plusieurs degrés au long de la journée.
Mode de vie
Les ouistitis sont très dynamiques, ils vivent au sommet des arbres et se nourrissent de fruits, de feuilles et d'insecte. Leurs incisives inférieures sont plus longues que les supérieures, ce qui leur permet de creuser des trous dans les troncs d'arbres afin d'y prélever la sève.
Reproduction
Les ouistitis vivent dans de petits cercles familiaux composées d'une douzaine d'adultes et de leur progénitur. Dans la plupart des espèces, les mères mettent au monde deux petits, mais il n'est pas rare de voir des naissances de triplés ou de quadruplés. Les ouistitis sont d'excellents parents, qui prennent un grand soin de leur progéniture et le père s'investit tout spécialement en installant les petits sur son dos lors des promenades familiales.


Dhole
totems  2006 Asianreddogsj1.th

Caractéristiques et comportement
Le dhole adulte peut peser entre 12 et 18 kg. Il est un animal hautement social et coopératif. Les groupes qu'il forme sont d'une dizaine d'individus en moyenne, mais ceux de trente ou quarante individus ne sont pas rares. Comme chez le loup ou le lycaon, seule la femelle dominante a des petits.
Les dholes vivent en groupes, qui peuvent parfois atteindre 40 individus. Autrefois de plus de 100 individus, les troupes aussi nombreuses ont disparues lorsque les grands herbivores ont commencé à se rarifier.
Il chasse presque toujours en groupe, préférentiellement des proies de taille moyenne comme le cerf axis. Il s'attaque parfois aussi à des proies de plus grande taille. L'attitude groupée lui permet d'écarter du chemin un tigre, et comme ce dernier, le dhole est très à l'aise dans l'eau où il précipite parfois ses proies.
Son évolution
Le dhole est un canidé social qui vit en Asie du Sud-Est "élargie". Il est un canidé bien différent des autres: sa formule dentaire le distingue (une molaire de moins sur la mandibule), la femelle a un plus grand nombre de mamelles et il a un répertoire vocal particulier qui lui permet d'adopter des stratégies de groupe adaptées à une végétation dense avec peu de visibilité. Il est presque exclusivement carnassier.
Comme les loups, seul le mâle et la femelle alpha se reproduisent, ce qui explique peut-être les menaces de disparition qui pèsent sur cette espèce. Ils élèvent leurs petits dans un terrier, comme les lycaons. Il ne reste aujourd'hui que quelques milliers de dholes sur la planète...
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MessageSujet: Re: totems 2006   totems  2006 EmptyLun 20 Nov - 23:25

Ils ont juste etes deplaces vers un endroit plus approprie ne t'en fait pas.
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MessageSujet: Re: totems 2006   totems  2006 EmptyMar 21 Nov - 22:26

Dans le fil "remarques sur les totems" dans la partie "feu de camp". Maintenant si tu postes des messages dans ce fil veille a ce qu'ils aient un rapport avec le titre du sujet.
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MessageSujet: Re: totems 2006   totems  2006 EmptyLun 18 Déc - 21:01

Pourquoi est ce qu'il n'y a plus: Totemisé a xxxxxxx,il se faisait appeler avant xxxxxx Question Question Question Question Question
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MessageSujet: Re: totems 2006   totems  2006 EmptyMar 19 Déc - 0:45

parceque tu sais bien comment il s'appelaient avant et tu sais quand ils etaient totemises (tu y etais d'ailleurs si je me rappelle bien).
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MessageSujet: Re: totems 2006   totems  2006 EmptyJeu 21 Déc - 15:39

Ah oui,excuse moi.J'avais oublié que j'étais le seul a regardé ca.
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